C'est un lien intime que Josquin entretient avec les chansons, la composition et la musique.

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Intime comme intérieur, à l'image de la folk ou de la chanson française qui peuvent se plaire dans les ambiances feutrées, les cabanes urbaines, les rues de campagnes, propices à se poser et à s'écouter...

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Intime comme acoustique, les instruments qui composent son éventail sonore : guitare bourdonnante, arpèges d'automne, piano d'hiver, voix à raconter, violoncelle pour se laisser glisser, banjo pour s'évader ...

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 Intime comme les tableaux de Hopper qui lui parlent tant, comme le chant murmuré de Vashti Bunyan qui l'accompagne les jours de pluie, les paysages un peu austères de l'Ouest irlandais qu'il a aimé fouler tant de fois, comme une rue new-yorkaise, entre briques rouges et ponts d'acier qu'il foulera  peut-être un jour... 

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